Des hivers et des étés de plus en plus chauds, des rivières asséchées, des milliers d’espèces disparues, l’acidification des océans, des déchets partout… Il est temps de changer nos habitudes ! Chacun, à son échelle, a un impact climatique.
Le dérèglement climatique et ses conséquences s’intensifient
Depuis une vingtaine d’années, les inondations spectaculaires, les canicules et les tempêtes se succèdent. La douceur des hivers précédents et le peu d’enneigement dans les stations de ski semblent être un signe de plus.
En 100 ans, les concentrations de gaz à effet de serre ont augmenté de 35 %. Cet état de fait explique en grande partie le réchauffement et ces phénomènes météorologiques extrêmes.
Si rien ne change d’ici quelques années, le Languedoc-Roussillon ou la Camargue pourraient bien être engloutis. Le responsable ? L’être humain, ses industries, la consommation de masse et les activités humaines.
Le réchauffement climatique augmente chaque année. La situation deviendra dramatique si nous ne changeons pas nos comportements.
Les écosystèmes sont bouleversés
Aujourd’hui, ce sont 15 000 espèces qui sont menacées d’extinction. Parmi ces espèces menacées d’extinction, on retrouve 1 mammifère sur 4, 1 oiseau sur 8 et la quasi-totalité des batraciens.
La désertification, l’accaparement des milieux sauvages par l’humain et la déforestation sont en grande partie responsables.
L’eau et les ressources planétaires sont surexploitées
Si tout le monde consommait comme les Européens, il faudrait 4 planètes. Depuis près de 50 ans, nous prenons à la Terre plus qu’elle ne peut offrir. Chaque année, le Jour du Dépassement arrive de plus en plus tôt.
Des pénuries sont à prévoir : pétrole, poissons, eau… Il est aujourd’hui probable que l’eau devienne une source de conflits graves, entre le Nord et le Sud d’ici quelques dizaines d’années. Le 21ème siècle sera également le siècle des « réfugiés écologiques ».
La catastrophe climatique approche
Plus aucun scientifique ne parle de risques potentiels. C’est dorénavant une certitude, si nous ne changeons pas rapidement nos habitudes, nous allons droit dans le mur écologique, et par voie de conséquence, sociétal.
Être écolo, c’est aussi faire des économies
Moins consommer et moins gâcher, c’est moins dépenser. Même si certaines décisions demandant un investissement de départ (mieux isoler son logement, adopter les énergies renouvelables) ou coûtent un peu plus cher (comme le bio), on finit toujours par être gagnant financièrement.
La pollution impacte directement notre santé
De plus en plus de maladies liées à la pollution sont constatées (asthme, cancers dus à l’alimentation ou à la qualité de l’air, baisse de la fertilité…). Quand on lutte contre la dégradation de l’environnement, on se bat aussi pour préserver sa santé et celle des générations futures.
Être écolo ne signifie plus vivre à l’âge de pierre
Grâce aux évolutions techniques et technologiques, être écolo n’est plus synonyme d’une vie austère en pleine forêt ! Il est possible de garder son confort, tout en faisant des efforts. Réduire sa consommation de viande permet, par exemple, de faire des économies rendant possible l’achat de fruits et légumes bio ! C’est en plus bien meilleur pour la santé ! Consommer vert, c’est retrouver le goût des bonnes choses et profiter d’une vie plus saine.